O Noir, bétail humain depuis des millénaires Tes cendres s’éparpillent à tous les vents du ciel Et tu bâtis jadis les temples funéraires Où dorment les bourreaux d’un sommeil éternel.
O Noir, bétail humain depuis des millénaires Tes cendres s’éparpillent à tous les vents du ciel Et tu bâtis jadis les temples funéraires Où dorment les bourreaux d’un sommeil éternel.
7 novembre 2012
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